Aujourd’hui, au programme, shopping à la cité de l’électricité : akihabara.
C’est un lieu impressionnant et indescriptible,condensé de culture informatique et manga.
Il s’agit d’une succession de salle d’arcade, magasin d’électronique, manga et maid café.
Un grand moment dans une reconstitution de Edo, l’ancienne Tokyo.
Nous nous sommes détendu dans des bains à 20, 39 ou 45°C en intérieur et en plein air.
Nous avons pris ensuite un repas à l’un des stand du par, pour ma part des soba ces fameuses nouilles de sarrasin accompagnées de tempura
certain se sont même permis une « petite » glace.
Et ensuite une petite ballade digestive dans le parcours de soin pour les pieds et ses multiple cailloux massant la plante des pieds.
Aujourd’hui, visite du temple Sengakuji.
Ce temple est le lieux de sépulture des des 47 rônins, ces samouraïs sans maître, qui vengèrent la condamnation au suicide de leur ancien maître en tuant la personne qu’il avait offensé suite à un malheureux concours de circonstance (cf wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/47_r%C5%8Dnin).
suite à cela ils furent eux même condamner à ce suicider.
Ces hommes reste, toujours actuellement, un symbole de loyauté et sont toujours honorés pour cela.
Après avoir posé nos bagage, direction Shibuya pour manger et faire une visite libre.
Nos premier contacts avec le métro tokyoite :
Que c’est propre ! Pas de graffitis, pas de saletés.
Shibuya est un quartier très dynamique, symbole de la mode japonnaise.
C’est aussi là que se trouve le plus fréquenté des carrefour piéton du monde, près d’un million de personnes s’y croisent chaque jour.
Près de la gare, on trouve aussi, sur la place qui porte son nom, la statue d’un chien, Hachiko, symbole de la fidélité.
En effet, l’histoire raconte qu’après la mort de son maitre, il venait toujours l’attendre à la sortie de la gare.
A la mort du brave animal les habitants du quartier décidèrent d’ériger une statue en son honneur, là ou il attendait.
La journée se poursuit avec la dégustation d’un curry dans l’un des resto du quartier et la visite des magasins.
Narita, 9h45, ça y est on est arrivé. On va pouvoir ce mettre en route vers Tokyo et notre hôtel dans le quartier de Hikeruburo.
Paris, il est 14h20, c’est dommage d’être à bord de l’avion le plus moderne au monde et d’être bloqué au sol à cause d’une panne informatique.
L’avion devait décoller il y a bientôt 1h.
Chose rassurante la panne ne semble pas venir de l’avion, mais des services au sol.
A l’embarquement déjà il n’y avait pas de technicien habilité à mettre en place les passerelles 2 et 3 sur cet A380.
Mise à part ces petit soucis, je doit avouer que cet appareil est magnifique, et que la classe voyageur premium est très confortable.
Le personnel est au petit soin avec nous.
Paris, il est 15H, nous n’avons pas encore décollé.
Un autre problème informatique indique que l’une des portes de l’avion n’est pas fermée.
Décidément ce voyage commence mal.
Paris, 15h50, ils ont redémarré 2 moteurs et ça semble être bon, l’alerte n’apparaît pas (Titi n’est pas là, on devrai pas tourner en rond). Allez on espère que cette fois c’est la bonne
Et voilà, plus quelques minutes avant l’embarquement
Marigot est la capitale du côté français de Saint Martin.
C’est une petite ville créole typique.
La ville est surplombée par les restes de la forteresse Saint Louis qui protégea la ville contre les tentatives d’invasions anglaises.
Sur la marina, un marcher créole a été construit pour le tournage de la scène finales du film « speed 2 ».
Grand Case est un petit bourg de Saint Martin très sympa.
On y trouve un grand nombre de restaurants, notamment les fameux « lolo », ces restaurants de plages tenue par des femmes et leurs fameux barbecue.
L’autre particularité de Grand Case est la présence du deuxième aéroport de l’île, d’où parte les avions pour la desserte des îles voisines.
Le limitless est l’ancien bateau de Bill Gates, il mouillait dans le lagon lors de mon voyage.
Le lagon de Saint Martin est le refuge de nombreux bateau de plaisance.
Saint Martin étant réputée pour être en dehors de la route des cyclones, de nombreux bateaux viennent s’y abriter. Toutefois les rares cyclones qui passent par là sont généralement atypiques et très violents.
Le ro-ro est l’épave d’une barge de débarquement de cargos et portes conteneurs qui fut sabordé, par 20m de fond, après la construction du terminal de déchargement de conteneur de l’île.
Devenu inutile il a permit de créer un récif artificiel où de nombreux poissons se sont regroupés.
on y trouve bien-sûr les poissons anges pyjama et « kat zyé » (quatre yeux en Créole)
Des gorettes or argent
Des poissons trompettes
Des barracudas
Des tortues
Et bien-sûr des langoustes.
Il y a aussi tout un tas de petits poissons que je n’ai pas pris le temps d’identifier.
On peut aussi avec un peu de chance y croiser un seigneur des mer comme ce requin citron (environ 2m) que vous apercevrez peut être sur cette photo (je sais on ne le voit pas bien, il était trop loin et j’arrivai sur la réserve)
Il ne faut pas oublier que cette épave était avant tout un lieux de travail et de vie.
Le french riff est un ensemble rocheux à faible profondeur, situé à proximité du pont du lagon côté hollandais. C’est un récif très peuplé et très agréable à visiter.
On y trouve de nombreuse gorgones et coraux.
Ainsi que quelques algues et éponges.
Bien évidemment on y rencontre aussi toute la collection des poissons de la région.
comme les diodons ou poisson porc-épic.
Des langoustes.
Des oursins, dont les aiguille mesurent près de 10 cm.
Des raies pastenagues.
Des barracudas.
Et des tortues, dont certaines se cachent dans la végétation.
Malheureusement, signe du réchauffement climatique, certaines espèces ont migré du sud. On trouve ainsi des rascasses volantes (ou poissons lions), qu’il faut si possible tuer(à Saint Martin) car il s’agit d’une espèce invasive, qui n’a pas de prédateurs sur place.
The bridge est un ensemble de 3 épaves et de l’ancien pont qui fermait le lagon côté hollandais. Ce dernier a été coulé pour ajouter un récif artificiel à la réserve naturelle.
Ce site est sité en face du nouveau pont, par 15m de fond. les épaves sont posées sur un fond sableu qui n’offrais jusque là que peu de refuge pour les poissons.
vous pourrez y rencontrer des lambis, ce sont des conques d’une vingtaine de centimètres de long que vous avez peut être manger. Et oui, ce sont les fameux boudins blanc, délicieux dans une assiète créôle.
vous y trouverez aussi des champions du camouflage.
Des murennes, bien callées dans les trous des épaves.
des requins nourices, bien installés dans les plis de la tôle.
Des raies pastenagues à demi ensevelies.
Et biensûr la multitude des poissons tropicaux classiques du secteur.
Charlie’s shol est une faille dans le fond de la mer des Caraïbes situé à une vingtaine de mètres de profondeur.
Cette faille fait quelques dizaines de centimètres de haut sur quelques centaines de mètres de long.
Cette faille laisse apparaître la roche, ainsi que des trous qui ont permis à la vie de s’installer dans la zone.
Voici quelques photo du spot : (malheureusement c’était ma première plongée photo et j’avais oublié de mettre le flash donc les couleurs sont très bleutées.)
Voici donc cette fameuse faille, rien de bien impressionnant, mais un véritable refuge pour la vie aquatique locale.
En plus on ne dirai pas qu’il y a 20m de fond.
On y trouve des colonies de filtreurs.
Certain avec des formes évocatrices :
On y trouve aussi quelques poissons :
Le poisson papillon très présent à Saint Martin, ici la variété pyjama
Ou le fameux poisson papillon « kat zyé » (quatre yeux en Créole)
Et le poisson coffre très bon en salade :
Bien qu’il ne s’agisse pas d’un récif corallien à proprement parlé, la température de l’eau leur permet toutefois de s’y développer :
On trouve aussi des tortues :
Et bien sûr des langoustes, qui ma fois ne sont pas farouche car elles sortent de leur trous pour dire bonjour aux plongeurs (en même temps j’étais dans une réserve naturelle)
Mal heureusement le réchauffement climatique à fait remonter quelques espèces du sud des caraïbes qu’il faut si possible tuer (à Saint Martin) comme la rascasse volante (poisson lion), ici des blanches, car elles n’ont pas de prédateur dans la région et risque de supplanter les espèces locales :
